La Ballade de Lila K

Livre de Blandine Callet, publié en 2010 aux éditions Stock

Résumé :

« La Ballade de Lila K, c’est d’abord une voix : celle d’une jeune femme sensible et caustique, fragile et volontaire, qui raconte son histoire depuis le jour où des hommes en noir l’ont brutalement arrachée à sa mère, et conduite dans un Centre, mi-pensionnat mi-prison, où on l’a prise en charge.

Surdouée, asociale, polytraumatisée, Lila a tout oublié de sa vie antérieure. Elle n’a qu’une obsession : retrouver sa mère, et sa mémoire perdue.

Commence alors pour elle un chaotique apprentissage, au sein d’un univers étrangement décalé, où la sécurité semble désormais totalement assurée, mais où les livres n’ont plus droit de cité.

Au cours d’une enquête qui la mènera en marge de la légalité, Lila découvrira peu à peu son passé, et apprendra enfin ce qu’est devenue sa mère. Sa trajectoire croisera celle de nombreux personnages, parmi lesquels : un maître érudit et provocateur, un éducateur aussi conventionnel que dévoué, une violoncelliste neurasthénique en mal d’enfant, une concierge vipérine, un jeune homme défiguré, un mystérieux bibliophile, un chat multicolore…

Roman d’initiation où le suspense se mêle à une troublante histoire d’amour, La Ballade de Lila K est aussi un livre qui s’interroge sur les évolutions et possibles dérives de notre société. » (4e de couverture)

Sailor Moon

 

Dessin animé (anime) adapté du manga de Naoko Takeuchi

Sorti au Japon en 1992 et en France sur TF1 à compter de décembre 1993

Vu en version DVD (VO sous titrée français), éditée par KAZÉ en 2013.

 

 

Synopsis :

Sailor Moon raconte l’histoire d’Usage Tsukino, collégienne de 14 ans, qui un beau jour sauve un drôle de chat noir d’enfants qui l’embêtaient ;  cette chatte, Luna, revient peu après voir Usagi et lui donne une broche magique, qui lui permet de se transformer en Sailor Moon, et de combattre les ennemis du Dark Kingdom… Usagi va devoir se mettre à la recherche de ses alliées, les autres guerrières de la Lune, tout en affrontant Queen Beryl et ses acolytes, prêts à tout pour mettre la main sur le cristal d’argent.

Le monde de Nathan (X+Y)

Film de Morgan Matthews, sorti en France en mars 2015

Vu en VO à l’Utopia de Tournefeuille

Synopsis :

Nathan est un adolescent souffrant de troubles autistiques et prodige en mathématiques. Brillant mais asocial, il fuit toute manifestation d’affection, même venant de sa mère. Il tisse pourtant une amitié étonnante avec son professeur anticonformiste Mr. Humphreys, qui le pousse à intégrer l’équipe britannique et participer aux prochaines Olympiades Internationales de Mathématiques. De la banlieue anglaise à Cambridge en passant par Taipei, la vie de Nathan pourrait bien prendre un tour nouveau… (Source : Allociné)

L’Honneur de l’Exilé (par Mercedes Lackey)

Lu en format papier, éditions Bragelonne

Résumé du livre : 

« L’honneur de l’exilé » met en scène un jeune Karsite, Alberich, contraint de quitter son pays natal car il a développé des pouvoirs interdits par la religion de Karse. Il est sauvé par un étrange cheval blanc aux yeux bleus, et emmené à Valdemar, patrie des  »chevaux de l’enfer » et de leurs  »démons-cavaliers ». Alberich va vite découvrir que son « exfiltration » n’est aucunement le fait du hasard, et que sa drôle de monture est en fait un Compagnon, c’est-à-dire un des « chevaux de l’enfer », tant redouté par les Karsites. Elu par Kantor, le Compagnon, Alberich est recueilli par les Héraults de Valdemar, ses désormais confrères. 

Bien entendu, la présence d’un Karsite, ennemi héréditaire de Valdemar, ne passe pas inaperçue, et le pauvre Alberich va avoir du mal à se faire à son statut de réfugié.

Heureusement, il va exercer en tant qu’assistant du maître d’armes, ce qui va permettre de détendre un peu la situation. De plus, l’intégration d’Alberich dans la Cour de Valdemar, ainsi que parmi ses « collègues » du Collège Héraldique, est aidée par le fait qu’il va devenir le garde du corps de la princesse héritière, Sélénay, ce qui va permettre que le Karsite se « fonde dans le paysage ».

On apprend à ce moment-là que Karse, l’ex-patrie de notre Alberich, a engagé des mercenaires, les Tedrels, qui sont un peu particuliers : en effet, d’habitude les mercenaires sont regroupés en compagnie, mais dans le cas des Tedrels il s’agit d’une nation toute entière (nation « déracinée » et bien décidée à s’approprier un nouveau territoire). 

En découlent les guerres tédrèles, qui vont durer plusieurs années, jusqu’à l’assaut final, auquel participeront tous les Hérauts (et leurs Compagnons, par force), le roi Sendar, sa fille Sélénay, et bien sûr l’incontournable Alberich. 

Dans le feu de la bataille, le monarque Sendar se sacrifie, permettant ainsi la victoire de l’armée valdemarane. Sa fille Sélénay lui succède immédiatement, et accorde à Alberich le titre de « Champion de la Reine », car il a sauvé de nombreuses vies grâce à une de ses prémonitions, et à son courage lors de la dernière bataille.

La suite dans le 2e tome, « La vaillance de l’Exilé ».

Paddington

Film de Paul King (2014)

Synopsis :

Paddington raconte l’histoire d’un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la recherche d’un foyer et d’une vie meilleure. Il réalise vite que la ville de ses rêves n’est pas aussi accueillante qu’il croyait. Par chance, il rencontre la famille Brown et en devient peu à peu un membre à part entière (source : Allociné).

Mon avis :

Les jardins du Roi (A little chaos)

Film d’Alan Rickman, sorti le 6 mai 2015, vu en VO au cinéma Le Central (Colomiers)

Synopsis :

Artiste aussi douée que volontaire, Sabine De Barra conçoit de merveilleux jardins. En 1682, son talent lui vaut d’être invitée à la cour de Louis XIV, où le célèbre paysagiste du roi, André Le Nôtre, fasciné par l’originalité et l’audace de la jeune femme, la choisit pour réaliser le bosquet des Rocailles. Ce sera une pièce maîtresse des jardins, la salle de bal à ciel ouvert du nouveau palais que le Roi Soleil souhaite créer à Versailles pour éblouir l’Europe. Tout en donnant son maximum et en menant l’incroyable chantier pour terminer à temps, Sabine s’aperçoit vite qu’à la cour, le talent ne suffit pas : il faut aussi maîtriser l’étiquette et savoir naviguer dans les eaux troubles des intrigues. La jeune femme défie les barrières sociales et celles liées à son sexe ; elle noue même une surprenante relation avec le roi et gagne la confiance du frère du souverain, Philippe. Au-delà des interdits et des passions, au coeur d’une cour sur laquelle le monde entier a les yeux rivés, Sabine et Le Nôtre vont tout donner pour porter le rêve de leur vie malgré les obstacles… (source : Allociné)

Mon avis ? c’est ici !

Tada !! (le retour)

Mais qui est-ce ? Mais oui, c’est bien moi, vous ne rêvez pas ^^ !

Le soleil est (presque) revenu, je sors donc de ma période d’hibernation (mode marmotte off). J’aurais aimé « revenir » plus tôt, mais certains soucis m’ont tenue à l’écart de ce blog, 2015 n’a pas démarré sous les meilleurs auspices qui soient…

Qu’à cela ne tienne, me revoilà, parée de mon bloc notes plein de gribouillis, armée de mon téléphone/appareil photo/aide-mémoire/… Bien équipée non ? En avant toute !

Le rainbow cake coco et chocolat blanc

 

J’ai récemment été fêter les 27 ans d’une de mes cousines, et j’ai eu envie de lui faire un joli gâteau pour son anniversaire. Ayant « flashé », très peu de temps auparavant, sur un livre de recettes de « rainbow cakes »,  j’ai décidé de me lancer dans des tests.

 

Tout d’abord, qu’est-ce qu’un « rainbow cake » ? Pour les allergiques à l’anglais, c’est un gâteau multicolore ^^ (aux couleurs de l’arc-en-ciel, pour être précise), qui peut être « nature » ou à différents parfums. Ce sont des gâteaux très esthétiques (en tout cas sur le bouquin !), du coup me voilà partie dans cette nouvelle aventure pâtissière !!

 

 

Ingrédients : 

Pour la génoise 

– 5 oeufs

– 350g de sucre

– 220g de beurre

– 1 cuillère à café rase de levure

– 300g de farine

– 130g de poudre de noix de coco

– 35cl de lait (j’ai mis du écrémé)

– extrait de vanille

– colorant alimentaire de couleur bleue

 

Pour le glaçage (attention, c’est light ^^)

– 150g de chocolat blanc

– 500g de cream cheese (type Philadelphia ou St Môret)

– 100g de mascarpone

– 100g de sucre glace

 

Préparation :

 

Cassez les oeufs et déposez-les dans un bol avec le sucre. Fouettez jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajoutez le beurre fondu, fouettez encore pour obtenir une pâte homogène. Tamisez la farine et la levure ensemble, versez-les dans le bol ; ajoutez la noix de coco en poudre et mélangez bien.

Versez petit à petit le lait mélangé à l’extrait de vanille tout en remuant.

Pesez la pâte, divisez le poids en six et répartissez-la équitablement dans 6 bols (c’est le moment le plus casse pieds de la recette). Déposez de 1 à 6 gouttes de colorant dans chaque bol, de manière à obtenir un dégradé. Mélangez bien la pâte pour obtenir une couleur homogène. Si besoin, rajoutez du colorant et mélangez à nouveau.

Préchauffez le four à 180° (thermostat 6). Beurrez et chemisez un moule d’une vingtaine de centimètres, rond ou carré. Versez une première pâte au centre du moule, répartissez-la uniformément dans tout le moule et lissez la surface. Enfournez la génoise pour 12mn, démoulez-la, retournez-la sur une grille pour qu’elle refroidisse et poursuivez la cuisson des autres pâtes.

 

Lorsque toutes les génoises sont prêtes et refroidies (si besoin, coupez la partie supérieure des gâteaux pour qu’ils soient bien plats), préparez le glaçage.

Faites fondre le chocolat blanc, battez le cream cheese, le mascarpone, le chocolat tiédi puis ajoutez le sucre glace. Fouettez encore et réservez la moitié du glaçage.

 

Déposez la génoise bleue la plus foncée sur un plat, étalez du glaçage sur toute la surface. Déposez la génoise un peu plus claire par-dessus, garnissez de glaçage et continuez en respectant le dégradé.

Lissez le glaçage sur le pourtour du gâteau et mettez au frigo pendant 2h. Pendant ce temps, préparez des copeaux de chocolat blanc à l’aide d’un économe. Couvrez l’ensemble du gâteau avec le reste du glaçage, parsemez de copeaux de chocolat blanc et mettez au frais au moins 30mn avant de servir.

 

 

Verdict de ma famille ? « Il est bon ton gâteau » 🙂 Pas trop lourd, plutôt joli, et le goût de coco est bien poussé par le chocolat blanc.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà essayé ce type de gâteau ??

 

L’astuce du jour : utilisez du colorant en gel, nettement plus sympa pour avoir des couleurs éclatantes. Il est un peu difficile à doser (j’ai galéré avec une pipette), mais le résultat est plutôt bien, non ??

On se réveille (doucement) ….

 

 

Bonjour à tous/toutes !

 

Comme vous l’avez peut-être vu, le blog a passé 2 mois en sommeil.

Plusieurs raisons à ce manque d’activité, des raisons personnelles et professionnelles à la fois.

Je m’excuse d’avoir été si peu présente, mais qu’à cela ne tienne, on s’y remet ! ^^

 

Dès demain, un nouveau post, puis d’autres en suivant. La publication se fera peut être  de façon un peu moins rapprochée que précédemment, mais je veux tenir sur du long terme…

 

Sur ce, bon dimanche à tous, et bonnes vacances à ceux qui ont la chance d’en avoir pris 😉

 

Le bonheur au bout du chemin

 

 

Aujourd’hui c’est férié, j’en profite donc pour vous présenter un film qui n’est plus tout jeune, mais qui a toujours une petite place dans mon  coeur…

 

 

Téléfilm canadien de Kevin Sullivan, sorti en 1985

 

Synopsis :

Mathieu et Marilla Cuthbert, frère et soeur assez âgés habitant Avonlea, sur l’île du Prince Edouard, au Canada, souhaitent adopter un jeune garçon pour les aider à tenir leur ferme, les Pignons Verts. Problème : l’orphelinat leur envoie une petite fille, Ann Shirley, qui a une imagination débordante. Les Cuthbert décident de garder la fillette malgré leurs préventions passées, et Ann Shirley s’intègre peu à peu à la vie du petit village d’Avonlea. Le caractère franc et la malice d’Ann lui valent de nombreuses mésaventures…